Dans un sondage CROP, 9 de nos personnes membres sur 10 nous ont indiqué souffrir de la pénurie de main-d’œuvre dans leur travail au quotidien. Il est plus que temps d’agir.
Surcharge, épuisement, manque de reconnaissance et conditions de travail dégradées ne sont que quelques-unes des conséquences concrète de la pénurie de main-d’œuvre dans les réseaux de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la santé. La situation n’est plus tenable.
La négociation actuelle sera l’occasion de nous faire entendre auprès du gouvernement.
Nous, à la CSQ, on est là. Où est le gouvernement ?